Un étude intéressante en ces temps de stigmatisation des vilains pirates qui font du mal aux majors. Ces dernières semaines, on entend – et on peut lire partout – que les pirates vont tuer la culture.
Si on continu dans la logique des gouvernements, télécharger une chanson de Sindy Sanders sera puni aussi sévèrement que de passer devant une école maternelle à 120 à l’heure avec 2 grammes dans chaque bras. (j’exagère exprès)

Cette étude de la BI Norwegian School of Management veut démontrer le contraire.

Sur un panel de 1901 personnes âgées de plus de 15 ans, il est ressorti que les personnes qui téléchargent de la musique gratuitement (P2P mais aussi les téléchargements gratuits ET légaux) achètent en moyenne 10 fois plus de titres dans les réseaux de distributions légaux (iTunes, boutiques, etc…).

En y réflichissant un peu, c’est pas débile ; une personne qui télécharge beaucoup de chansons a naturellement tendance à en consommer plus qu’une autre. Elle va écouter et découvrir plus d’artistes et ira plus facilement acheter un album d’un artiste qu’elle connait et apprécie.

Après, je ne cautionne pas non plus le téléchargement illégal (on a pas le droit de dire ça en public), mais faut peut-être juste arrêter de faire une montagne.
Je suis toujours encore étonné qu’un album (on va dire 14 chansons) téléchargé sur le net en mp3 coutera presque aussi cher que le support physique (le CD quoi) avec le packaging et le livret qui va avec. Faudrait pas creuser un peu cette piste ?
Nan je déconne, je sais bien qu’ils sont au courant de ça chez les producteurs…

via Geeks.com et Aftenposten

Comme à chaque fois, Rémi Gaillard nous fait bien marrer avec ses vidéos.

On attend toujours la prochaine et heureusement, elle tarde pas trop à venir…

Donc n’importe qui nous fait n’importe quoi avec un remake de Pac Man dans la vraie vie. IRL quoi !

Toutes les autres vidéos par là : nimportequi.com

Le buzz et la chanson du jour… CollegeHumor nous sort un hymne aux trolls et autres abrutis qui répandent leurs bonnes paroles dans les commentaires.

Je relaie cette vidéo parce que là, franchement, ROFL !

Depuis le 24 mars 2009, tout le monde peut acheter et réserver un domaine en « .tel« . Un peu comme pour les .com, .fr ou .net.

Par exemple, disposer d’une adresse nomprenom.tel.

A ceci près que le .tel est différent des autres extensions disponibles. On ne pourra pas le faire pointer vers un site internet comme c’est le cas pour les autres extensions. Il servira à rassembler l’ensemble des moyens de contact pour une entreprise ou une personne.
Par exemple : téléphones fixe et mobile, fax, mail, les profils facebook, twitter, myspace, les partages picasa, flickr, windows live, le compte skype et j’en passe…

L’intérêt est de centraliser toutes les coordonnées numériques d’une personne et qu’elles soient accessibles de partout et par tous les moyens. En vidéo, une petite explication du « comment feront mes amis pour me contacter » par Toupointtel.fr.

Les premiers chiffres sont prometteurs car environ 100 000 .tel seraient déjà déposés. Bien entendu, comme pour les autres noms de domaines, qui dit possession, dit prix. Il faudra compter environ 15€ HT/an pour ce genre d’extension. Ce qui me semble un peu cher quand même à coté des tarifs pour un .com ou .net.

Ils ont même pensé à faire un spot de pub qui nous montre qu’on peut choper dans le train avec un .tel.

L’info essentielle, la jeune fille blonde s’appelle Laura Haddock (une nièce du capitaine sans doutes), actrice anglaise de 23 ans.

Maintenant, je me pose des questions sur la carrière de ce .tel. Sommes-nous sans trop le savoir, devant une revolution de notre manière d’accéder aux coordonnées d’une personne ?

Possible, car je ne m’imagine pas avoir un carnet d’adresses de sites web pour faire le lien entre un nom et une adresse IP. Je me vois pas trop taper « http://213.165.72.126″ à la place de « http://8-0.fr ». Donc pourquoi ne pas se connecter au net et aller sur l’adresse de la personne pour disposer de son numéro et cliquer sur « appeler’ ?

Ou alors, le prix va freiner les particuliers laissant les entreprises et les cyber-squatteurs mettre la main sur tout ce qui est simple et accrocheur avant que le commun des mortels s’y interesse.

Je reste pensif. Mais je ne doute pas du changement radical de nos habitudes si cette solution devient presque universelle.

Alors, après « tu me donnes ton 06 ? », en seront nous à demander le .tel à une fille ? J’imagine bien sa réaction !

Tom

Rassurez-vous, ce n’est qu’une connerie. Mais franchement, la page Facebook de Bill Gates pourrait ressembler à ça.

Tom

Une histoire assez marrante mais qui laisse quand même à réfléchir.

Un habitant d’un petit village appelé Broughton en Grande Bretagne a bloqué le véhicule de Google chargé de prendre les photos de la région. Paul Jacobs, a vite été rejoint par ces voisins pour faire bloc et empêcher la voiture de passer. Il a expliqué au chauffeur qu’il n’y a pas de raison qu’il les laisse prendre des photos de sa maison sans son accord. D’ailleurs, il n’est pas d’accord. La Googlemobile a été contrainte de faire demi-tour.

En réponse, Google se défend en disant que n’importe qui peut demander de retirer une photo qui lui causerait préjudice. Cette photo sera supprimée en quelques heures.

D’où le début de réflexion, faut-il règlementer plus clairement l’utilisation de l’image ou faut-il fouiller le net entier pour s’assurer que notre image n’est pas utilisée n’importe comment ? Le comportement un peu extrême de ce britannique a, en tout cas, ouvert un débat sur la toile.

D’un autre coté, je préfère largement les actus plus inutiles sur Street View.

Comme cette histoire relatée par le Sun d’une femme qui a prouvé l’infidélité de son mari grâce à une photo prise par Google du Range Rover du mari garé devant la maison de la maitresse.

Ou les photos qui ont fait le tour de la planète montrant une Googlemobile renversant un gentil chevreuil…

C’est quand même plus léger qu’une réflexion sur le droit à l’image.

En cherchant quelques infos sur ce sujet, j’ai quand même découvert qu’aux US, les voitures de Google Street View ont de la gueule…

Dernière info, on peut voir depuis quelques temps les rues des grandes villes françaises sur Street View. J’ai regardé et j’ai même trouvé mon chez moi ! J’avais aussi croisé la voiture à deux reprises mais je n’apparait pas sur les photos. (pas la peine pour moi d’aller râler chez Google)

Tom

Avec toujours une ou deux mode de retard, voilà que je fouille les site de vente de badges.
Mais si ! les espèces de petites médailles à épingle en fer blanc qui ont tenté un come-back depuis 80’s y’a deux ans de ça.

Etant moi même un poduit des années 80, je reste un nostalgique de la nintendo 8bits et des pin’s. A l’époque le badge faisait so british ! On affichait fièrement nos badges des groupes de heavy metal ou de nirvana.

Donc si vous aussi vous n’avez pas encore intégré les dernières modes, que vous n’arrivez pas à vous résoudre à porter un slim trop petit avec les lunettes de Tom Cruise dans Top Gun. Ou alors vous n’avez simplement pas évolué depuis une bonne vingtaine d’années, possible aussi ça.

Voici un petit site, où j’arrive à passer des heures tellement le choix est difficile et grand :

Site basé en Allemagne, a priori ils livrent partout dans le monde, mais ça reste à vérifier. D’ailleurs, je pense que je testerai par moi même prochainement.

Voilà un moyen bien old-school de se démarquer ou d’afficher ses gouts. Je me réserve le « mushroom 1up » de Mario Bros c’est clairement mon préféré.

Tom

Popotestories, ou les histoires d’une passionnée du popotage.

Un petit article en forme de remerciement à celle qui m’a inconsciemment poussé à publier 8-0.fr. Mais qui est elle ?
Une jeune maman passionnée de cuisine et qui adore préparer de bons petits plats pour sa petite famille. Je sais bien, beaucoup de femmes sont comme elle. Mais là où ça change, c’est qu’elle a décidé de partager ses recettes ou plutôt ses petites tranches de vie autour de la cuisine sur un blog.

Après des débuts prometteurs sur canalblog, on s’est retrouvé le temps d’un week-end pour complètement refondre le site avec un cahier des charges simplissime : faut que ça lui ressemble.
Il y a eu d’intenses réflexions, des débats à n’en plus finir, des fous rires et de la fatigue mais le contrat a été respecté. Je suis reparti le dimanche et le blog était en ligne.

Après, à vous de juger. Je ne suis pas objectif car c’est un peu mon bébé aussi même si je ne m’occupe pas du tout de la rédaction des recettes. Je suis plus actif quand il s’agit de gouter.

L’ajout de nouvelles recettes est quasi quotidien, on y trouve de tout et pour tout les gouts. Pas besoin d’être un chef pour refaire les recettes à la maison.
C’est simple, c’est bon !

J’oubliais presque l’adresse : www.popotestories.fr

Bonne visite les gourmands !

Tom